l’arbre aime la mer
son odeur salée
le sable granulé
qui lui mord les pieds
il se nourrit
du bruit des vagues
du cri des mouettes
il pousse ses branches
le plus loin possible
pour attirer les visiteurs
dans son ombre tiède
nourrie d’histoires tendres
et de passions secrètes
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démesure
quand la mer et le soleil
se rencontrent violemment
c'est un choc de démesure
se rencontrent violemment
c'est un choc de démesure
ici la côte est pointue
comme l’accent
les couleurs explosent de vie
l’écume de murmures
une gaité virevoltante
balaie l’horizon courbe
et quand le vent s’en mêle
un tourbillon de folie
s'empare sans effort
comme l’accent
les couleurs explosent de vie
l’écume de murmures
une gaité virevoltante
balaie l’horizon courbe
et quand le vent s’en mêle
un tourbillon de folie
s'empare sans effort
Mots-clés :
bord de mer,
cœur,
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couleur,
courbe,
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folie,
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Luc Fayard,
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ponton
le ponton est une promesse
de départ d’aventure
saut vers l’ailleurs
rupture avec le passé
que de têtes tournées
vers les couchers de soleil
de serments échangés
au clair de lune
d’enfants rieurs jouant
sur les vieilles planches
toute une vie s’y est déroulée
tout un futur s’y invite
de départ d’aventure
saut vers l’ailleurs
rupture avec le passé
que de têtes tournées
vers les couchers de soleil
de serments échangés
au clair de lune
d’enfants rieurs jouant
sur les vieilles planches
toute une vie s’y est déroulée
tout un futur s’y invite
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saut
voyage
la route la mer et les pins
invitation au voyage
sans commentaire
sans prospectus
rien à dire
mon enfant ma sœur
il n’y a plus qu’à partir
sous le ciel brouillé
multicolore
vers l’aventure
partir seul
pour mieux découvrir
ce qu’il y a là-bas
au bout de la route
invitation au voyage
sans commentaire
sans prospectus
rien à dire
mon enfant ma sœur
il n’y a plus qu’à partir
sous le ciel brouillé
multicolore
vers l’aventure
partir seul
pour mieux découvrir
ce qu’il y a là-bas
au bout de la route
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village de bord de mer
on a envie d’aller
au bout de la rue
découvrir ce qui se cache
au-delà des angles tranchants
au bout de la rue
découvrir ce qui se cache
au-delà des angles tranchants
des maisons pimpantes
des murs
toucher derrière les portes
et les fenêtres closes
des murs
toucher derrière les portes
et les fenêtres closes
cette vie secrète
et pourtant bien réelle
on sent la mer proche
on sent la mer proche
qui nous appelle
on entend avec elle
on entend avec elle
le cri rauque des mouettes
et des goélands
c’est une promenade sans fin
égayée par les couleurs de la vie
reflétées sur les murs
et des goélands
c’est une promenade sans fin
égayée par les couleurs de la vie
reflétées sur les murs
Mots-clés :
bord de mer,
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promenade,
rue,
village
vagues
on entend le roulement
des déferlantes ivres
la mer universelle
bat les rochers
sous un ciel contrarié
l’accalmie de lumière
la mer universelle
bat les rochers
sous un ciel contrarié
l’accalmie de lumière
y perce malgré tout
la cote n’est pas accueillante
la douleur est le prix de la beauté
la vague est ample écumante
prise d’un désir de tourbillon
les couleurs se répondent
la cote n’est pas accueillante
la douleur est le prix de la beauté
la vague est ample écumante
prise d’un désir de tourbillon
les couleurs se répondent
brise écaillles et ribambelles
la brise frise la mer qui se meurt
sur les rocs noirs habillés d’écailles
les algues longues et vertes s’affalent
couvrant des ribambelles de sable gris
brins en tas grains mouillés qui s’étalent
dessinant des taches brunes et ocres
la pluie luit sur la vase rase
vide au premier coup d'oeil
si peuplée quand la mer l'abandonne
ce pays d’eau de bas en haut
baigne de lames désarmées
mes larmes d’enfance dense
le regret croit quand le souvenir gît
l’avenir fuit devant la nostalgie
sur les rocs noirs habillés d’écailles
les algues longues et vertes s’affalent
couvrant des ribambelles de sable gris
brins en tas grains mouillés qui s’étalent
dessinant des taches brunes et ocres
la pluie luit sur la vase rase
vide au premier coup d'oeil
si peuplée quand la mer l'abandonne
ce pays d’eau de bas en haut
baigne de lames désarmées
mes larmes d’enfance dense
le regret croit quand le souvenir gît
l’avenir fuit devant la nostalgie
port launay
Là-haut le morne retient les nuages
Sur un rocher à l'entrée de la baie
Une croix dit peut-être
Qu'ici des hommes ont péri
Le ciel est aussi chargé
Que le silence est léger
Une houle du nord pas méchante
Vient mourir sur la plage
L'anse est profonde et calme vivante
Sur le rivage
La barque de pêcheur blanche et jaune
Se balance
Immuablement
Une tortue sort sa tête de l'eau
Comme un périscope
Elle regarde si tout va bien
Puis elle disparaît
Un banc de poissons argentés
Poursuivi par un invisible requin
Joue à saute-mouton sur les vagues
Des chauves-souris grosses comme des corbeaux
Piaillent dans les grottes granitiques
D'autres traversent la baie
Battant l'air d'un air abattu
Avec leurs drôles d'ailes à l'envers
De temps en temps
D'un bruit sec
Une noix tombe d'un cocotier
Sur la plage
L'ombre pieuvre des takamakas
Protège le sable
Là-haut le morne retient les nuages
Seychelles janvier 2005
Sur un rocher à l'entrée de la baie
Une croix dit peut-être
Qu'ici des hommes ont péri
Le ciel est aussi chargé
Que le silence est léger
Une houle du nord pas méchante
Vient mourir sur la plage
L'anse est profonde et calme vivante
Sur le rivage
La barque de pêcheur blanche et jaune
Se balance
Immuablement
Une tortue sort sa tête de l'eau
Comme un périscope
Elle regarde si tout va bien
Puis elle disparaît
Un banc de poissons argentés
Poursuivi par un invisible requin
Joue à saute-mouton sur les vagues
Des chauves-souris grosses comme des corbeaux
Piaillent dans les grottes granitiques
D'autres traversent la baie
Battant l'air d'un air abattu
Avec leurs drôles d'ailes à l'envers
De temps en temps
D'un bruit sec
Une noix tombe d'un cocotier
Sur la plage
L'ombre pieuvre des takamakas
Protège le sable
Là-haut le morne retient les nuages
Seychelles janvier 2005
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Conseil: une fois sur les poèmes, passez d'un texte à l'autre avec les flèches du clavier