sur la terre
sur une autre planète
quelque part
dans l’univers
existe un pays
troué de lumière bleue
où les rêves surnagent
comme des échappées
où les herbes se troublent
par les pensées
où le sol se vallonne
de recoins secrets
un pays qui m’appelle
et que je ne puis rejoindre
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quelque part
Mots-clés :
bleu,
Luc Fayard,
lumière,
nouveau-poeme,
pays,
planète,
poésie-art,
rêve,
secret,
terre,
univers
éloge de la lenteur
ce serait un pays où l’on vivrait
comme dans un film au ralenti
après des heures à se dessiner
jamais plus le sourire
comme dans un film au ralenti
après des heures à se dessiner
jamais plus le sourire
ne se fermerait sur le visage
la marche sans but prendrait la forme
d’un rituel initiatique de respiration
l’esprit ne serait qu’un calme absolu
répandant son énergie dans l'être
peut-être n’aurait-on plus besoin de parler
les rencontres préparées par la pensée
s’étant irriguées de cette chaleur diffuse
la mère caresserait son fils
d’un geste si langoureux
qu’il fermerait les yeux
rêvant au paradis de coton bleu
où les enfants rois décident de tout
les chats toujours plus paresseux
n’en finiraient plus de s’étirer
sur les couettes laineuses
même l’araignée au diapason
tisserait sa toile en un siècle
le long des murs de maisons
dans les jardins multicolores
les fleurs effarouchées
s’ouvriraient mollement
refusant de se dévoiler trop tôt
parfois il tomberait une faible pluie
si douce et venant de si haut
qu’elle parfumerait la peau
des senteurs colorées du ciel
sur la grève peuplée de souvenirs
la marée au rythme lunaire
laisserait aux amoureux
le temps de priser son spectacle
et le vent qui chasse tout en riant
clamerait dans les plaines du pays
sa fierté d'être tiède frissonnant
seul messager du bonheur infini
hommage à Milan Kundera et Carl Honoré
dans l’air du matin
les mains s’écarteraient
sur des cercles imaginaires
chassant les vents contraires
sur des cercles imaginaires
chassant les vents contraires
volutes longtemps évoqués
construisant le vide devenu le tout
construisant le vide devenu le tout
la marche sans but prendrait la forme
d’un rituel initiatique de respiration
l’esprit ne serait qu’un calme absolu
répandant son énergie dans l'être
peut-être n’aurait-on plus besoin de parler
les rencontres préparées par la pensée
s’étant irriguées de cette chaleur diffuse
la mère caresserait son fils
d’un geste si langoureux
qu’il fermerait les yeux
rêvant au paradis de coton bleu
où les enfants rois décident de tout
les chats toujours plus paresseux
n’en finiraient plus de s’étirer
sur les couettes laineuses
même l’araignée au diapason
tisserait sa toile en un siècle
le long des murs de maisons
dans les jardins multicolores
les fleurs effarouchées
s’ouvriraient mollement
refusant de se dévoiler trop tôt
parfois il tomberait une faible pluie
si douce et venant de si haut
qu’elle parfumerait la peau
des senteurs colorées du ciel
sur la grève peuplée de souvenirs
la marée au rythme lunaire
laisserait aux amoureux
le temps de priser son spectacle
et le vent qui chasse tout en riant
clamerait dans les plaines du pays
sa fierté d'être tiède frissonnant
seul messager du bonheur infini
hommage à Milan Kundera et Carl Honoré
illustré par Femme Nue sur Tortue - La Paresse, de Florence Jacquesson (avec son aimable autorisation)
Mots-clés :
elle joue la nuit,
éloge,
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Florence Jacquesson,
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pays,
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sculpture,
vent
histoire de la mer
c’est l’histoire de la mer
qui se dévoile devant nous
des frégates de guerre
d’hier et d’aujourd’hui
c’est l’histoire des marins
aux quatre coins du monde
mais toujours chez eux
sur le pont de leur bateau
c’est l’histoire des pays lointains
de leurs habitants
des grands voyages
des découvertes
et toujours la même fin
le retour au port
qui se dévoile devant nous
des frégates de guerre
d’hier et d’aujourd’hui
c’est l’histoire des marins
aux quatre coins du monde
mais toujours chez eux
sur le pont de leur bateau
c’est l’histoire des pays lointains
de leurs habitants
des grands voyages
des découvertes
et toujours la même fin
le retour au port
Mots-clés :
bateau,
destination,
frégate,
guerre,
histoire,
Luc Fayard,
marin,
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poésie-art,
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