rien que du simple
au premier plan
une fermière et sa vache
un arbuste un pré
au second plan
un village
aux toits bleus et rouges
au dernier plan
une colline au sommet arrondi
aux champs bien délimités
et l’on comprend
que tout est dit
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tout est dit
Mots-clés :
Camille Pissarro,
campagne,
champ,
colline,
fermière,
impressionnisme,
Luc Fayard,
Orsay,
paysage,
poème-court,
toit,
vache,
village
jaune
pays jaune
cela n’existe pas
un paysage jauni
comme celui-ci
et pourtant
quelle force quelle vie
dans les lignes
dans les formes
et l’eau si présente
qu’on la voit frémir
qu’on l’entend gémir
il fait chaud ce jour-là
cela n’existe pas
un paysage jauni
comme celui-ci
et pourtant
quelle force quelle vie
dans les lignes
dans les formes
et l’eau si présente
qu’on la voit frémir
qu’on l’entend gémir
il fait chaud ce jour-là
Mots-clés :
Alfred Sisley,
chaleur,
eau,
impressionnisme,
Luc Fayard,
Orsay,
paysage,
poème-court,
pont,
rivière,
village
puzzle
la vie façon puzzle
tout s’emboîte
couleurs et formes
en harmonie
le village est un rêve
où tout irait bien
dans la rue chaude
et silencieuse
derrière les volets
et les portes fermées
on imagine des vies
secrètes et poétiques
tout s’emboîte
couleurs et formes
en harmonie
le village est un rêve
où tout irait bien
dans la rue chaude
et silencieuse
derrière les volets
et les portes fermées
on imagine des vies
secrètes et poétiques
petit fleuve
hiératiques maisons
le long de l’eau courant
ce filet est un fleuve
le plus petit de France
on a envie de le suivre
parce qu’on sait
qu’il conduit à la mer
dans le village
l’eau passe tranquillement
entre les murs fiers
qui la regardent de haut
sur le chemin vers l’aval
il reste peu de moulins
et peu de cressonniers
le long de l’eau courant
ce filet est un fleuve
le plus petit de France
on a envie de le suivre
parce qu’on sait
qu’il conduit à la mer
dans le village
l’eau passe tranquillement
entre les murs fiers
qui la regardent de haut
sur le chemin vers l’aval
il reste peu de moulins
et peu de cressonniers
village de bord de mer
on a envie d’aller
au bout de la rue
découvrir ce qui se cache
au-delà des angles tranchants
au bout de la rue
découvrir ce qui se cache
au-delà des angles tranchants
des maisons pimpantes
des murs
toucher derrière les portes
et les fenêtres closes
des murs
toucher derrière les portes
et les fenêtres closes
cette vie secrète
et pourtant bien réelle
on sent la mer proche
on sent la mer proche
qui nous appelle
on entend avec elle
on entend avec elle
le cri rauque des mouettes
et des goélands
c’est une promenade sans fin
égayée par les couleurs de la vie
reflétées sur les murs
et des goélands
c’est une promenade sans fin
égayée par les couleurs de la vie
reflétées sur les murs
Mots-clés :
bord de mer,
couleur,
iode,
Luc Fayard,
maison,
mer,
mouette,
poésie-art,
promenade,
rue,
village
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Conseil: une fois sur les poèmes, passez d'un texte à l'autre avec les flèches du clavier