tout est indice ici
on imagine l’activité de pêche
sans bien la voir
les nuages sont posés
dans le ciel
comme des meringues
à l'envers
on suppose que les bateaux
ne sont pas encore rentrés
c’est le calme
avant la tempête
de la criée et de la foule
au loin les cheminées fument
symboles d’une ville industrieuse
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meringue
Mots-clés :
calme,
Camille Pissarro,
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impressionisme,
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Luc Fayard,
Orsay,
pêche,
poème-court,
port
l'étoile
la goélette à hunier
réplique des paimpolaises
pêcheurs de morue
pointe fièrement
son long bout-dehors
poulies et cabestans
sont durs à souquer
pour manœuvrer
quatre voiles d’avant
mâtereau étambot
sont réparés
le bateau-école
peut repartir
réplique des paimpolaises
pêcheurs de morue
pointe fièrement
son long bout-dehors
poulies et cabestans
sont durs à souquer
pour manœuvrer
quatre voiles d’avant
mâtereau étambot
sont réparés
le bateau-école
peut repartir
Mots-clés :
bout-dehors,
cabestan,
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grément,
hunier,
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poulie,
vieux,
voilier
esquisse
parfois un bateau est juste
une esquisse de forme
un reflet dans l’eau
la proue fière clame
c’est moi la briseuse de flots
la coque s’affiche
comme un étendard
cachant le carré cosy
où le marin s’abrite
les jours de mauvais temps
une esquisse de forme
un reflet dans l’eau
la proue fière clame
c’est moi la briseuse de flots
la coque s’affiche
comme un étendard
cachant le carré cosy
où le marin s’abrite
les jours de mauvais temps
port de pêche
la lumière est un filtre
impressionniste
posé sur le paysage
on ne voit personne
mais les activités se devinent
le soir d’été a lâché son voile
sur les hommes et la ville
l’eau est partout
devant derrière
enserrant les maisons
qui vivent d’elle
la mer est une mère
nourricière et fière
impressionniste
posé sur le paysage
on ne voit personne
mais les activités se devinent
le soir d’été a lâché son voile
sur les hommes et la ville
l’eau est partout
devant derrière
enserrant les maisons
qui vivent d’elle
la mer est une mère
nourricière et fière
pluie rouge
la pluie rouge tomba sur la ville
honteuse la mer partit se cacher
emportant avec elle les poissons affolés
les maisons blanches tremblaient de peur
puis un cri vibrant jaillit de la cote
honteuse la mer partit se cacher
emportant avec elle les poissons affolés
les maisons blanches tremblaient de peur
puis un cri vibrant jaillit de la cote
déclamant aux gens perdus
creusez loin
creusez loin
cherchez au-delà de l’illusion
née du cauchemar des hommes
vivez le présent
et ses cadeaux
le sourire revint sur les quais
et le monde finit par s’habituer
à ces couleurs nouvelles
qui rendaient leur vie plus joyeuse
née du cauchemar des hommes
vivez le présent
et ses cadeaux
le sourire revint sur les quais
et le monde finit par s’habituer
à ces couleurs nouvelles
qui rendaient leur vie plus joyeuse
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couleurs,
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port du sud
tous les bruits sont là
le gai klaxon des voitures
sur les quais agités
le gai klaxon des voitures
sur les quais agités
de mouvements variés
le boum-boum-boum
des bateaux à moteur
qui glissent sur l’eau
le bruissement
des filets de pêche
enroulés à la poupe
les voix riantes
qui s’interpellent
le boum-boum-boum
des bateaux à moteur
qui glissent sur l’eau
le bruissement
des filets de pêche
enroulés à la poupe
les voix riantes
qui s’interpellent
en crieurs de marchés
d’habitude un tableau
c’est le silence
mais ici dans tous ses bleux
la vie même
d’habitude un tableau
c’est le silence
mais ici dans tous ses bleux
la vie même
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Conseil: une fois sur les poèmes, passez d'un texte à l'autre avec les flèches du clavier