les trois fillettes jubilent
le parc est à nous
mais on ne court pas
tenons-nous la main
jusqu’à l’arrivée
c’est promis
quand on sera là-bas
personne pour nous voir
on pourra courir
comme des folles
mais là non
c’est décidé
on ne court pas
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promenade
je me promenais
sous les couleurs
éclatantes
des frondaisons
les arbres se voûtaient
pour abriter mes pensées
je marchais sur les tapis
teints de l'orient
doux comme le tamis
des souvenirs anciens
la journée s’étirait
en petits carrés d'infini
sous les couleurs
éclatantes
des frondaisons
les arbres se voûtaient
pour abriter mes pensées
je marchais sur les tapis
teints de l'orient
doux comme le tamis
des souvenirs anciens
la journée s’étirait
en petits carrés d'infini
Mots-clés :
arbre,
carré,
couleur,
douceur,
frondaison,
Luc Fayard,
nouveau-poeme,
orient,
pensée,
poésie-art,
promenade,
souvenir,
tamis,
tapis
village de bord de mer
on a envie d’aller
au bout de la rue
découvrir ce qui se cache
au-delà des angles tranchants
au bout de la rue
découvrir ce qui se cache
au-delà des angles tranchants
des maisons pimpantes
des murs
toucher derrière les portes
et les fenêtres closes
des murs
toucher derrière les portes
et les fenêtres closes
cette vie secrète
et pourtant bien réelle
on sent la mer proche
on sent la mer proche
qui nous appelle
on entend avec elle
on entend avec elle
le cri rauque des mouettes
et des goélands
c’est une promenade sans fin
égayée par les couleurs de la vie
reflétées sur les murs
et des goélands
c’est une promenade sans fin
égayée par les couleurs de la vie
reflétées sur les murs
Mots-clés :
bord de mer,
couleur,
iode,
Luc Fayard,
maison,
mer,
mouette,
poésie-art,
promenade,
rue,
village
paysage giflant
je ne savais rien de ce paysage giflant
était-il beau ou laid
pourtant
au premier coup d'œil
je stoppais ma marche
subjugué
les odeurs l'éclairage les froufrous
tout submergeait mes sens en éveil
ensorcelé par ce lieu
j’y reviendrai souvent
mes promenades avaient un but
désormais
bien plus tard
j'apprendrai à le connaître
à reconnaître
était-il beau ou laid
pourtant
au premier coup d'œil
je stoppais ma marche
subjugué
les odeurs l'éclairage les froufrous
tout submergeait mes sens en éveil
ensorcelé par ce lieu
j’y reviendrai souvent
mes promenades avaient un but
désormais
bien plus tard
j'apprendrai à le connaître
à reconnaître
chaque détail
l'inclinaison des frondaisons
sensible aux saisons
les couleurs insolentes
des lumières tamisées
les courbes fruitées
des petites sentes
et plus je le connaitrai
plus je conforterai
mon besoin de lui
mais il ne changera pas
son impact sur moi
pas plus que je ne corrigerai
mon regard sur lui
dès le début
il fit partie de moi
fulgurance de l’esthétique
l'inclinaison des frondaisons
sensible aux saisons
les couleurs insolentes
des lumières tamisées
les courbes fruitées
des petites sentes
et plus je le connaitrai
plus je conforterai
mon besoin de lui
mais il ne changera pas
son impact sur moi
pas plus que je ne corrigerai
mon regard sur lui
dès le début
il fit partie de moi
fulgurance de l’esthétique
Mots-clés :
attirance,
coup de coeur,
détail,
elle joue la nuit,
esthétique,
Luc Fayard,
paysage,
promenade
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Conseil: une fois sur les poèmes, passez d'un texte à l'autre avec les flèches du clavier