La vague devient chair sous le ciel dénudé,
Le long de son corps embrasé se perd le temps,
L’onde enserre la lumière de vert veinée,
Oblitérant de ses doigts le jour en suspens.
Lors, la vague émeraude vomit la colère
Dans la danse de ses lames effrénées,
Se pétrifie dans les coulures de l’éther
Son âme déchue où s’émiettent les trophées.
Les trois belles à l’entour de l’intempérance
Éclaboussent la vague de leur nudité,
Quand leurs cœurs ceints d’onyx vibrent dans les luisances.
La grâce susurre à la vague captivée :
« Sursois à briser mon âme qui bat encore
Dans la danse des corps où vacillent les ors ».
Texte de Laurence Sophie inspiré par la sculpture La Vague ou les baigneuses de Camille Claudel. Voir Galerie Amavero
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La vague de Camille Claudel
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et presqu’un sourire
quelles sont tes pensées
jeune femme sereine
assise elle rêve
d’amour et d’amitié
et presqu’un sourire
quelles sont tes pensées
jeune femme sereine
assise elle rêve
d’amour et d’amitié
et se rappelle
la peau douce de sa mère
l’effluve d’un parfum
la caresse sur l’épaule
d’un ami qui s’en va
et qui reviendra
laissons-la rêver
sans la déranger
la peau douce de sa mère
l’effluve d’un parfum
la caresse sur l’épaule
d’un ami qui s’en va
et qui reviendra
laissons-la rêver
sans la déranger
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un sourire énigme de muse
le cœur gros comme un gros diamant
cœur d’or cœur d’amour cœur vibrant
marchant sur la pointe des pieds
de peur d’abimer le sentier
de la vie riche que tu sculptes
tu es si farouche et secrète
un sourire énigme de muse
le cœur gros comme un gros diamant
cœur d’or cœur d’amour cœur vibrant
marchant sur la pointe des pieds
de peur d’abimer le sentier
de la vie riche que tu sculptes
tu embrasses la terre entière
les arbres les fleurs et la mer
d’un air tranquille sans tumulte
tu croques tes rêves d’enfant
qui s’envolent en riant
les arbres les fleurs et la mer
d’un air tranquille sans tumulte
tu croques tes rêves d’enfant
qui s’envolent en riant
tu es si farouche et secrète
qu'on n'ose t"effleurer
mais du haut de ton port de tête
mais du haut de ton port de tête
victorieux altier
tu abrites un monde bleu
qui rend les gens heureux
tu abrites un monde bleu
qui rend les gens heureux
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